Notes : | Double-cliquez ici pour définir le titre Cette étude familiale relative àla famille MÉNESTREY est le résultat,, outre de nos propres recherches par correspondances diverses, de contacts par Internet, où j'ai trouvé de très aimables généalog istes surfeurs. Qu'ils soient ici tous remerciés , et particulièrement : MaudCOSSURELLE, Michel AJOULAT, et Jean MAURICE qui se sont vraiment "décarcassés" pour me fournir des informations de premier choix qui m'ontpermis de reconstruire un arbre assez complet à Bains-les-Bains. Jeana même consulté, à mon profit,le Minitel sur 3617-GENLOR, afin de consulter les listes de mariages (hommes) dans les Vosges pour la période 1700 à 1870. L'essentiel des renseignements concernant la famille MÉNESTREY est extrait de l'ouvrage de l'Abbé C. OLIVIER, auteur de "BAINS-les-BAINS", Editions 1909-1911, Tome I. "Avant la Révolution" et Tome II. "Pendant la Révolution". Il est important de signaler, commele fait d'ailleurs l'auteur que ses recherches sont arrêtées en 1815.L'abbé C. Olivier précise en tête de chapitre relatif à la Famille Ménestrey, page 416 : Les registres paroissiaux, dès les premières annéesde leur existence, présente le nom Ménestrey sous des formes variéesque l'onserait tenté d'attribuer à des familles d'origines différentes. Or nous avons constaté que ces variantes sont purement orthographiqueset que les Ménestrey, Ménestrel, Mentrel, Mentrey, Mentré sortent tous dela même souche ( Même Ménestrez trouvé àMalmédy en Belgique, ndlr ). Nous savons déjàde quelle haute considération ils jouirentde tout temps parmi leurs concitoyens.Leur origine remonte à n'en point douter, à "Jaicquet dict le Ménestry" que l'ona vu, exploitant, en 1418, les Moulins etBattants du Chapitre, de Les mailles et de La Forge. Le qualificatif de Ménestrey lui fut attribué, non parce qu'ilétait un ménestrel très en vogue, ce qui ne cadrerait pas avec sa haute pos ituion sociale, mais bien à cause des fonctions civiles et judiciaires dont il fut investidurant de longues années et qui attirèrentparticulièrement l'attention de ses concitoyens, de telle sorte qu'ilsprirent l'habitude de le désigner sous le nom alors en usage de "MÉNESTRAT", c'est-à-dire magistrat ou édile.En 1558, nous trouvions encore un Mansuy Ménestrey qui est revêtu de la dignité de Grand Doyen, etcent ans plus tard, c'est Jacques qui gère les fonctions de procureurfiscal. Un des fils de Jacques, Jean François, épousa la nièce du curé Durand ; deux autres, Charles et Pierre, se voient encore honorés dela même dignité que leur ancêtre, et, comme on pourra le constater, la famille entretient les relations les plus intimes avecles curés duvoisinage et avec les Huvé , de Fontenoy.Il n'est pas inutile de rappeler que c'est à la générosité de Pierre Ménestrey qu'est due l'érection de la première chapelle consacrée à N.-D. de la Brosse. Versl e milieu du XVIIe siècle, la famille Ménestrey comprend deux branches, c elle de Jacques et celle de Joseph ; mais la première seule est parvenuejusqu'à nous. |